par Cet informateur dans la taverne de Malinalda était des plus agréables !!!
Mis à par une cuisse entaillée,
et un peu d’agressivité, tout c’est passé dans les conditions d’une rencontre de deux gentlemans et j’ai pus obtenir toutes les informations sur ma cible et quelques informations sur la cité.
En sortant dans la rue,
je me suis dirigée vers la caserne, pour préparer le terrain en vus de la mission. Le drapeau calyspo claque au vent, surplombant les bâtisses, surmontant nonchalamment le toit de la caserne.
Quel arrogance ses calypsos … Trop sûr d’eux. Le jour de la fin de leur suprématie, leur chute va être rude … très rude.
Je marche dans une ruelle étroite de la ville.
Les gens ici se font plus rares. Je ne croise que quelques rares passants qui semblent bizarrement plus affairés que ceux des quartiers voisins. Le jour entame sa fin. Le soleil se couche gentiment et envoie de magnifiques rayons dorés dans les arbres et sur les bâtisses.
A cette heure de la journée les maisons et la végétation ne font qu’un.
Quelques rares enfants jouent encore dans les ruelles, et se font rapidement rappeler à l’ordre par leurs parents, rentrant immédiatement chez eux.
Il ne fait pas bon trainer dans les rues par ici.
Surement parce que les gardes ici sont plus que présents. Entre archers sur les toits et lanciers aux coins de rues, sans parler des cavaliers, il ne fait pas bon être n’importe qui.
Je me change prestement le visage pour passer inaperçus. Et je choisis le visage d’un calypso, même si ça ne colle pas trop avec mon équipement elfe.
Ma balade est tranquille est reposante (même si ce n’est pas le but). Je passe devant un épicier quand une voix m’interpelle sur ma gauche :
« - Eh toi le grand !! Tu ne sais donc pas que le couvre feu pour les hommes c’était il y a au moins 1 heure ? Tu mériterais que je t’emmène au poste pour payer une amande ! »
L’homme,
ou plutôt les 3 se rapprochent de moi à grands pas bruyants. Je me retourne et espères que les gardes me ficheront la paix en voyant mon visage de calypso.
Mais je me rends compte trop tard que ce visage sensé m’aider va en vérité se révéler désastreux pour mon cas.
Je me retourne,
et le soleil illuminant la rue se retrouve dans mes yeux. Je ne distingue pas bien les trois gardes. En revanche eux voient très clairement mon visage.
« - Merde vous êtes calypso … »
Le visage du garde s’adoucit et je crois qu’il va s’excuser quand soudain une sorte de lueur malsaine passe dans son regard.
« - Chopez-le les gars »
Un poing m’arrive en pleine face.
En effet les seuls calypsos ici en forêt elfe sont les soldats. Et bien sûr je n’ai pas sur moi l’équipement réglementaire de l’armée calypso. Ainsi donc je suis pour eux un pauvre civil calypso en plein territoire elfe. Et que peut-il y avoir d’intéressant en ce territoire si ce n’est pour aider les elfes.
Me voici donc pris pour un « résistant » calypso en territoire du beau peuple. Mes affaires ne sont pas des meilleures …
Je ne me souviens pas beaucoup du voyage jusqu’à cette cave. Part contre une douleur assourdissante me prend tout l’arrière du crâne.
Je suis assis sur une chaise,
les pieds et les mains liés. La cave est très sombre et une odeur de terre m’envahit le nez. Dehors une forte agitation règne et je crois comprendre que les soldats partent pour une autre ville elfe. Vus le bruit ce sont essentiellement des cavaliers, et ils ont l’air nombreux.
J’essaye de réorganiser mes idées quand un coup de barre de fer m’arrive dans les côtes gauches par derrière. La douleur m’envahit tout le corps et je retiens un cri.
« -Alors sale traître !! On fornique avec des elfes ?! » Me hurle une grosse voix.
Un autre gars ricane derrière moi.
Mon cas ne s’arrange pas. Je remarque cependant que l’homme à la barre de fer n’est pas le même que la garde qui m’a arrêté. Je peux peut-être m’en sortir …
Je reprends mon apparence de drow,
avant que les soldats passent face à moi. L’un passe à droite et l’autre à gauche. Celui de droite est le soldat qui m’a arrêté.
Ils tendent une torche vers mon visage et là … La surprise ce lit sur le visage de l’inconnus.
« - Bordel qu’est-ce qu’il fout la lui ?!! Vous aviez dit que c’était un calypso que vous aviez arrêté ! Et ça c’est quoi ? Un calypso peut-être ? Non mais ce n’est pas possible. »
L’autre garde est abasourdi et en tombe des nus.
« - Qu’est-ce qui se passe monsieur le garde ? Qu’ai-je fais de mal ? » Me fais-je passer pour un innocent.
« -Excusez moi monsieur mais la garde vous à arrêtez car on vous avez pris pour un traître calypso. Je suis désolé. Je vais vous détacher et vous serez libre. »
L’homme passe derrière moi et me libère de mes liens. Le garde qui m’a arrêté lui ne comprend toujours rien.
Mes mains et mes pieds enfin libres je me lève et remercie le soldat.
Je fais quelque pas vers la porte quand l’abasourdie me demande avec un drôle de ton dans la voix :
« - Excusez moi monsieur mais, pourriez vous nous dire qui vous êtes et ce que vous faites par ici. C’est que l’on à pas l’occasion de voir des drows tout les jours à Malinalda. »
Et là l’erreur … J’ai complètement oublié de me fabriquer une fausse identité. Surtout qu’un drow en territoire calypso est à peine mieux vus qu’un calypso en territoire elfe …
Je me retourne et les gardes voient à mon regard que je suis incapable de leur répondre, et que je cache quelque chose …
Ils s’approchent pour m’agripper. Mes bras se changent rapidement en pointes et je leur enfonce bien profondément dans le ventre.
Toute ces transformation m’ont complètement épuisé et je m’évanouie …
Mis à par une cuisse entaillée,
et un peu d’agressivité, tout c’est passé dans les conditions d’une rencontre de deux gentlemans et j’ai pus obtenir toutes les informations sur ma cible et quelques informations sur la cité.
En sortant dans la rue,
je me suis dirigée vers la caserne, pour préparer le terrain en vus de la mission. Le drapeau calyspo claque au vent, surplombant les bâtisses, surmontant nonchalamment le toit de la caserne.
Quel arrogance ses calypsos … Trop sûr d’eux. Le jour de la fin de leur suprématie, leur chute va être rude … très rude.
Je marche dans une ruelle étroite de la ville.
Les gens ici se font plus rares. Je ne croise que quelques rares passants qui semblent bizarrement plus affairés que ceux des quartiers voisins. Le jour entame sa fin. Le soleil se couche gentiment et envoie de magnifiques rayons dorés dans les arbres et sur les bâtisses.
A cette heure de la journée les maisons et la végétation ne font qu’un.
Quelques rares enfants jouent encore dans les ruelles, et se font rapidement rappeler à l’ordre par leurs parents, rentrant immédiatement chez eux.
Il ne fait pas bon trainer dans les rues par ici.
Surement parce que les gardes ici sont plus que présents. Entre archers sur les toits et lanciers aux coins de rues, sans parler des cavaliers, il ne fait pas bon être n’importe qui.
Je me change prestement le visage pour passer inaperçus. Et je choisis le visage d’un calypso, même si ça ne colle pas trop avec mon équipement elfe.
Ma balade est tranquille est reposante (même si ce n’est pas le but). Je passe devant un épicier quand une voix m’interpelle sur ma gauche :
« - Eh toi le grand !! Tu ne sais donc pas que le couvre feu pour les hommes c’était il y a au moins 1 heure ? Tu mériterais que je t’emmène au poste pour payer une amande ! »
L’homme,
ou plutôt les 3 se rapprochent de moi à grands pas bruyants. Je me retourne et espères que les gardes me ficheront la paix en voyant mon visage de calypso.
Mais je me rends compte trop tard que ce visage sensé m’aider va en vérité se révéler désastreux pour mon cas.
Je me retourne,
et le soleil illuminant la rue se retrouve dans mes yeux. Je ne distingue pas bien les trois gardes. En revanche eux voient très clairement mon visage.
« - Merde vous êtes calypso … »
Le visage du garde s’adoucit et je crois qu’il va s’excuser quand soudain une sorte de lueur malsaine passe dans son regard.
« - Chopez-le les gars »
Un poing m’arrive en pleine face.
En effet les seuls calypsos ici en forêt elfe sont les soldats. Et bien sûr je n’ai pas sur moi l’équipement réglementaire de l’armée calypso. Ainsi donc je suis pour eux un pauvre civil calypso en plein territoire elfe. Et que peut-il y avoir d’intéressant en ce territoire si ce n’est pour aider les elfes.
Me voici donc pris pour un « résistant » calypso en territoire du beau peuple. Mes affaires ne sont pas des meilleures …
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Je ne me souviens pas beaucoup du voyage jusqu’à cette cave. Part contre une douleur assourdissante me prend tout l’arrière du crâne.
Je suis assis sur une chaise,
les pieds et les mains liés. La cave est très sombre et une odeur de terre m’envahit le nez. Dehors une forte agitation règne et je crois comprendre que les soldats partent pour une autre ville elfe. Vus le bruit ce sont essentiellement des cavaliers, et ils ont l’air nombreux.
J’essaye de réorganiser mes idées quand un coup de barre de fer m’arrive dans les côtes gauches par derrière. La douleur m’envahit tout le corps et je retiens un cri.
« -Alors sale traître !! On fornique avec des elfes ?! » Me hurle une grosse voix.
Un autre gars ricane derrière moi.
Mon cas ne s’arrange pas. Je remarque cependant que l’homme à la barre de fer n’est pas le même que la garde qui m’a arrêté. Je peux peut-être m’en sortir …
Je reprends mon apparence de drow,
avant que les soldats passent face à moi. L’un passe à droite et l’autre à gauche. Celui de droite est le soldat qui m’a arrêté.
Ils tendent une torche vers mon visage et là … La surprise ce lit sur le visage de l’inconnus.
« - Bordel qu’est-ce qu’il fout la lui ?!! Vous aviez dit que c’était un calypso que vous aviez arrêté ! Et ça c’est quoi ? Un calypso peut-être ? Non mais ce n’est pas possible. »
L’autre garde est abasourdi et en tombe des nus.
« - Qu’est-ce qui se passe monsieur le garde ? Qu’ai-je fais de mal ? » Me fais-je passer pour un innocent.
« -Excusez moi monsieur mais la garde vous à arrêtez car on vous avez pris pour un traître calypso. Je suis désolé. Je vais vous détacher et vous serez libre. »
L’homme passe derrière moi et me libère de mes liens. Le garde qui m’a arrêté lui ne comprend toujours rien.
Mes mains et mes pieds enfin libres je me lève et remercie le soldat.
Je fais quelque pas vers la porte quand l’abasourdie me demande avec un drôle de ton dans la voix :
« - Excusez moi monsieur mais, pourriez vous nous dire qui vous êtes et ce que vous faites par ici. C’est que l’on à pas l’occasion de voir des drows tout les jours à Malinalda. »
Et là l’erreur … J’ai complètement oublié de me fabriquer une fausse identité. Surtout qu’un drow en territoire calypso est à peine mieux vus qu’un calypso en territoire elfe …
Je me retourne et les gardes voient à mon regard que je suis incapable de leur répondre, et que je cache quelque chose …
Ils s’approchent pour m’agripper. Mes bras se changent rapidement en pointes et je leur enfonce bien profondément dans le ventre.
Toute ces transformation m’ont complètement épuisé et je m’évanouie …
