Je me réveil difficilement
… La tête me tourne et une immense douleur envahie tout mon être las de toutes ces aventures.
Je me soulève difficilement, m’aide du mur. Je loge ma tête entre mes mains, dans l’espoir d’atténuer le son sourd qui règne encore à l’extérieur …
Je n’ai pas le temps de reprendre mes forces,
que j’entends des bruits de bottes sur les marches de l’escalier qui se trouve probablement derrière la porte, elle-même face à moi.
Je me retourne alors comme je peux.
J’inspecte la cave. Mes yeux me renvoient de la pièce une image sombre et floue. Je ne distingue rien de particulier, mit à part la chaise sur laquelle on m’a ligotée.
Ah si !! Les tonneaux !
Ils sont recroquevillés, timides, dans un coin de la salle. Je m’approche d’eux en boitant. Soudain mon pied heurte une pierre et je m’étale de tout mon long sur les dits tonneaux.
Un vacarme immense se produit. Puis silence. Inquiétant d’ailleurs puisque les bottes se sont arrêtées dans l’escalier.
Ah non elles reprennent leur rythme, mais de manière plus rapide cette fois.
Je remets les tonneaux en place, me cache entre eux et le coin. Cette cachette est plus que ridicule mais on ne sait jamais.
Je m’accroupis et distingue entre deux tonneaux la porte qui s’ouvre sur deux gardes lourdement armés. Trop lourdement armé à mon gout …
Je tente de m’asseoir et place ma main contre le mur pour me fournir un appuie.
Or ma main ne rencontre aucun mur et je tombe comme une déjection humaine dans un boyau de roche entièrement noir et plein de boue.
La chute et brève, l’arrivée rude.
J’atterris, pour le plus grand bonheur d’un quelconque dieu sadique, le coxis sur une petite pierre.
Je me relève alors avec une vitesse proche de celle de la truite verte des forêts boréales qui remonte sa cascade dans le but de pondre une nouvelle génération de poisson, et dont tout le monde sans fout ; en me tenant élégamment l’arrière train.
Après un rétablissement aussi agréable que de se faire étranglé par un troll, je me retourne vers le boyau. Manifestement, il n’est pas naturel.
A l’autre bout je vois les deux gardes qui ont retournés les tonneaux et inspectent l’orifice. Mais ils ne semblent pas le voir. D’ailleurs en y réfléchissant bien … moi non plus je ne l’ai pas vu.
Le boyau est fait d’une roche noire, parsemait d'autres grises et jaune pisse. Il est d’abord d’aspect naturel (bien que certains angle paraissent suspect et que certaines surfaces sont extrêmement lisses).
Puis soudain il devient clairement artificiel. Le tunnel devient d’aspect normal, avec de nombreux bas reliefs taillés avec une finesse époustouflante. Le sol est dallé et de nombreux portes-torches sont accrochés aux murs.
Soudain une salle. Immense. Et elle, naturelle. Je ne n’aperçois pas le plafond. Sur la gauche, un mur taillé avec des bas reliefs et un autel. Des bougies brulent, en ayant recouvert tout cet autel d’une bonne couche de cire. Un piédestal des plus simple supporte, non pas un imposant grimoire ; mais un simple parchemin.
Au centre de la caverne, un squelette et une épée courte.
A droite, la grotte continue dans une obscurité inquiétante.
Je sors ma dague … au cas où.
Un puits de lumière tombe du plafond et diffuse un léger rayon de lumière dans toute la caverne.
Je m’approche avec prudence de l’autel.
Les bougies brulent par magie, ce qui explique qu’elle soit encore entière.
Manifestement cet autel existe depuis longtemps. De nombreuses toiles d’araignée recoure le sanctuaire, rendant quasiment illisible le parchemin.
Je les écarte de la main quand soudain … mon doigt effleure le morceau de papier …
Un immense flash apparait devant mes yeux et je ne sens plus mon corps.
Désormais mes yeux me renvoient les images d’une prophétie, dictée par une voix agitée par l’espoir et la joie :
Une douleur immense m’envahit le crâne, et des visages m’apparaissent :
Je sors de mon rêve. Mes yeux se réhabituent lentement à l’obscurité.
Un mal de crâne me reprend … Je n’ai vraiment pas de chance aujourd’hui.
Je me retourne vers le couloir, il est tant de partir. Soudain une ombre passe derrière moi et agite les bougies.
… La tête me tourne et une immense douleur envahie tout mon être las de toutes ces aventures.
Je me soulève difficilement, m’aide du mur. Je loge ma tête entre mes mains, dans l’espoir d’atténuer le son sourd qui règne encore à l’extérieur …
Je n’ai pas le temps de reprendre mes forces,
que j’entends des bruits de bottes sur les marches de l’escalier qui se trouve probablement derrière la porte, elle-même face à moi.
Je me retourne alors comme je peux.
J’inspecte la cave. Mes yeux me renvoient de la pièce une image sombre et floue. Je ne distingue rien de particulier, mit à part la chaise sur laquelle on m’a ligotée.
Ah si !! Les tonneaux !
Ils sont recroquevillés, timides, dans un coin de la salle. Je m’approche d’eux en boitant. Soudain mon pied heurte une pierre et je m’étale de tout mon long sur les dits tonneaux.
Un vacarme immense se produit. Puis silence. Inquiétant d’ailleurs puisque les bottes se sont arrêtées dans l’escalier.
Ah non elles reprennent leur rythme, mais de manière plus rapide cette fois.
Je remets les tonneaux en place, me cache entre eux et le coin. Cette cachette est plus que ridicule mais on ne sait jamais.
Je m’accroupis et distingue entre deux tonneaux la porte qui s’ouvre sur deux gardes lourdement armés. Trop lourdement armé à mon gout …
Je tente de m’asseoir et place ma main contre le mur pour me fournir un appuie.
Or ma main ne rencontre aucun mur et je tombe comme une déjection humaine dans un boyau de roche entièrement noir et plein de boue.
******
La chute et brève, l’arrivée rude.
J’atterris, pour le plus grand bonheur d’un quelconque dieu sadique, le coxis sur une petite pierre.
Je me relève alors avec une vitesse proche de celle de la truite verte des forêts boréales qui remonte sa cascade dans le but de pondre une nouvelle génération de poisson, et dont tout le monde sans fout ; en me tenant élégamment l’arrière train.
Après un rétablissement aussi agréable que de se faire étranglé par un troll, je me retourne vers le boyau. Manifestement, il n’est pas naturel.
A l’autre bout je vois les deux gardes qui ont retournés les tonneaux et inspectent l’orifice. Mais ils ne semblent pas le voir. D’ailleurs en y réfléchissant bien … moi non plus je ne l’ai pas vu.
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Le boyau est fait d’une roche noire, parsemait d'autres grises et jaune pisse. Il est d’abord d’aspect naturel (bien que certains angle paraissent suspect et que certaines surfaces sont extrêmement lisses).
Puis soudain il devient clairement artificiel. Le tunnel devient d’aspect normal, avec de nombreux bas reliefs taillés avec une finesse époustouflante. Le sol est dallé et de nombreux portes-torches sont accrochés aux murs.
Soudain une salle. Immense. Et elle, naturelle. Je ne n’aperçois pas le plafond. Sur la gauche, un mur taillé avec des bas reliefs et un autel. Des bougies brulent, en ayant recouvert tout cet autel d’une bonne couche de cire. Un piédestal des plus simple supporte, non pas un imposant grimoire ; mais un simple parchemin.
Au centre de la caverne, un squelette et une épée courte.
A droite, la grotte continue dans une obscurité inquiétante.
Je sors ma dague … au cas où.
Un puits de lumière tombe du plafond et diffuse un léger rayon de lumière dans toute la caverne.
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Je m’approche avec prudence de l’autel.
Les bougies brulent par magie, ce qui explique qu’elle soit encore entière.
Manifestement cet autel existe depuis longtemps. De nombreuses toiles d’araignée recoure le sanctuaire, rendant quasiment illisible le parchemin.
Je les écarte de la main quand soudain … mon doigt effleure le morceau de papier …
Un immense flash apparait devant mes yeux et je ne sens plus mon corps.
Désormais mes yeux me renvoient les images d’une prophétie, dictée par une voix agitée par l’espoir et la joie :
« Je l’ai trouvée !! Enfin ! Après tant d’année d’errance, tant de compagnons morts, tant de blessures, de désespoir et de foutus calypso qui ont essayé de m’arrêter … Je l’ai trouvée »
L’image d’une pierre sombre au reflet rougeoyant m’apparait.
« Elle est comme la légende la décrit. Elle a absorbé une partie de la puissance du sortilège qui à renvoyé leur démon.
L’utiliser serait le seul moyen de récupérer le reliquaire pour libérer le dieu.
Elle est d’une grande puissance, et seul un être particulièrement affiné à la magie pourrait l’utilisé, et la toucher »
L’image d’un être fin, voir même d’une femme m’apparait. Mais son visage est caché.
« La pierre aurait été près du lieu du sortilège. Mais apparemment, d’après mes recherches et mes découverts, elle aurait été déplacée. Par le peuple des Urus il semble … Bizarre. »
Soudain un visage d’elfe m’apparait et me regarde droit dans les yeux. C’est celui qui à créait le parchemin, qui à risqué sa vie pour trouver la pierre.
« Vous aurez besoin d’aide … et seul eux pourront vous aider … »
L’image d’une pierre sombre au reflet rougeoyant m’apparait.
« Elle est comme la légende la décrit. Elle a absorbé une partie de la puissance du sortilège qui à renvoyé leur démon.
L’utiliser serait le seul moyen de récupérer le reliquaire pour libérer le dieu.
Elle est d’une grande puissance, et seul un être particulièrement affiné à la magie pourrait l’utilisé, et la toucher »
L’image d’un être fin, voir même d’une femme m’apparait. Mais son visage est caché.
« La pierre aurait été près du lieu du sortilège. Mais apparemment, d’après mes recherches et mes découverts, elle aurait été déplacée. Par le peuple des Urus il semble … Bizarre. »
Soudain un visage d’elfe m’apparait et me regarde droit dans les yeux. C’est celui qui à créait le parchemin, qui à risqué sa vie pour trouver la pierre.
« Vous aurez besoin d’aide … et seul eux pourront vous aider … »
Une douleur immense m’envahit le crâne, et des visages m’apparaissent :
Un cavalier calypso lourdement armé dans une forêt elfe, avec une drow ; un drow armé de deux kama ; un guerrier Calypso, du genre rodeur ; un elfe mage du feu ; un pyros à l’expression … inexistante ; une frêle pyros, possédant un violoncelle ; et enfin un grand elfe qui semble posséder un statut important.
Je sors de mon rêve. Mes yeux se réhabituent lentement à l’obscurité.
Un mal de crâne me reprend … Je n’ai vraiment pas de chance aujourd’hui.
Je me retourne vers le couloir, il est tant de partir. Soudain une ombre passe derrière moi et agite les bougies.
Puis … le noir complet.