[Ouha !!! ça fait un méga baille que j'ai pas écrit sur ce ch'tit forum ! Bon bah il y à plus qu'à tout recommencer !]
Et encore une audience ... Je hais les audience ... Je hais cette reine. Le seul avantage quelle a c'est ... son argent.
Je hais ces audiences, avec toute cette décoration stupide, ces costumes stupide, ces manières de parler et de se tenir stupide. S'il n'y avait pas la vingtaine de gardes autour d'elle et de ses conseillés, elle pourrait être sûr que je lui parlerais pire qu'à un chien. Car elle ne vaut pas mieux !
Vous verriez comment elle me paye !
Bon passons les questions et idées de révolutions.
Mes pas résonnent dans les interminables couloirs, couleur blanc neige et blanc marbre ... enfin c'est blanc quoi.
Aucun relief, aucun repères, aucunes lignes. Un vrai labyrinthe ...
Les deux gades qui m'escortent savent exactement où ils vont et le chemin leur semble tracé au sol.
Moi j'ai beau regarder mes pieds et le sol, je ne vois que du blanc de partout.
Après moult détours, couloirs, virages, escaliers, et autres "choses architecturales" , la lourde porte de la salle royale se dresse devant nous.
Grande, sculpté finement, mais tellement ... blanche !
Les imposant gardes encadre la porte. Ils ne bronchent pas.
Un silence gênant s'installe. Les gardes nous regardent. Mes gardes regardent les gardes ; et moi je regarde les sentinelles en haut des portes qui ne semblent pas pressées de nous ouvrir.
Soudain la portes grince un peu, puis glisse (glace sur glace ça glisse vachement bien. Malin les ingénieurs Calypso !). Et une autre immense salle nous apparait ... et encore blanche.
Elle est tout en longueur, avec deux immenses colonnes de pillier d'au moins 50 mètres de haut à droite et à gauche de la salle ; qui amène au trône.
Ce trône immense d'au moins 20 mètres de haut, sculpté pompeusement.
Et sur ce trône pompeux, un cul pompeux appartenant à une personne tout aussi pompeuse.
"- Entre Issh, entre ! Je t'attendais" me dit la reine avec un dédain dans la voix, un mépris pour les gens non nobles.
*Je vais pas rester sur le pas de la porte duconne !*
[Ça c'est dans ma tête. Parce que si je dis ça à la reine je ressors avec celle-ci (la tête ^^) dans les mains ...]
"- J'ai une nouvelle mission pour toi. De l'espionnage, et peu être même de l'assassinat"
*Si tu m'as appelé c'est pas pour que je te fasses des crêpes !*
"- Il faut que tu te rendes aux ruines gelées. Ont a repérés des traces de pas là bas. Je ne veux pas envoyer de gardes pour ne pas alerter les gens. Moins nos troupes bougeront dans la ville, moins de craintes il y aura parmi les citoyens"
"- Bien ma sublimissime, grandiose, beauté divine, mon stratè..."
"- Suffit ! ouste !"
Et deux gardes me prirent par dessous les bras, me trainèrent dans le palais et me jetèrent dans la rue, le cul dans une flaque ...
(Suite au "Ruines gelées")
Et encore une audience ... Je hais les audience ... Je hais cette reine. Le seul avantage quelle a c'est ... son argent.
Je hais ces audiences, avec toute cette décoration stupide, ces costumes stupide, ces manières de parler et de se tenir stupide. S'il n'y avait pas la vingtaine de gardes autour d'elle et de ses conseillés, elle pourrait être sûr que je lui parlerais pire qu'à un chien. Car elle ne vaut pas mieux !
Vous verriez comment elle me paye !
Bon passons les questions et idées de révolutions.
Mes pas résonnent dans les interminables couloirs, couleur blanc neige et blanc marbre ... enfin c'est blanc quoi.
Aucun relief, aucun repères, aucunes lignes. Un vrai labyrinthe ...
Les deux gades qui m'escortent savent exactement où ils vont et le chemin leur semble tracé au sol.
Moi j'ai beau regarder mes pieds et le sol, je ne vois que du blanc de partout.
Après moult détours, couloirs, virages, escaliers, et autres "choses architecturales" , la lourde porte de la salle royale se dresse devant nous.
Grande, sculpté finement, mais tellement ... blanche !
Les imposant gardes encadre la porte. Ils ne bronchent pas.
Un silence gênant s'installe. Les gardes nous regardent. Mes gardes regardent les gardes ; et moi je regarde les sentinelles en haut des portes qui ne semblent pas pressées de nous ouvrir.
Soudain la portes grince un peu, puis glisse (glace sur glace ça glisse vachement bien. Malin les ingénieurs Calypso !). Et une autre immense salle nous apparait ... et encore blanche.
Elle est tout en longueur, avec deux immenses colonnes de pillier d'au moins 50 mètres de haut à droite et à gauche de la salle ; qui amène au trône.
Ce trône immense d'au moins 20 mètres de haut, sculpté pompeusement.
Et sur ce trône pompeux, un cul pompeux appartenant à une personne tout aussi pompeuse.
"- Entre Issh, entre ! Je t'attendais" me dit la reine avec un dédain dans la voix, un mépris pour les gens non nobles.
*Je vais pas rester sur le pas de la porte duconne !*
[Ça c'est dans ma tête. Parce que si je dis ça à la reine je ressors avec celle-ci (la tête ^^) dans les mains ...]
"- J'ai une nouvelle mission pour toi. De l'espionnage, et peu être même de l'assassinat"
*Si tu m'as appelé c'est pas pour que je te fasses des crêpes !*
"- Il faut que tu te rendes aux ruines gelées. Ont a repérés des traces de pas là bas. Je ne veux pas envoyer de gardes pour ne pas alerter les gens. Moins nos troupes bougeront dans la ville, moins de craintes il y aura parmi les citoyens"
"- Bien ma sublimissime, grandiose, beauté divine, mon stratè..."
"- Suffit ! ouste !"
Et deux gardes me prirent par dessous les bras, me trainèrent dans le palais et me jetèrent dans la rue, le cul dans une flaque ...
(Suite au "Ruines gelées")